Vous rêveriez de retrouver chez les enfants...

 

Plus de motivation ?

Plus de curiosité ?

Plus de joie à travailler ?

Plus de créativité ?

Plus d'auto-discipline ?

Plus de concentration ?

Plus de confiance en soi ?

 

Sans perdre en qualité et en efficacité d'apprentissage, bien au contraire ?

 

Les résultats récents des évaluations PISA sont des indicateurs clairs :

 

L'enseignement traditionnel n'est plus la voie la plus efficace pour préparer nos enfants à un avenir en constante mutation.

 

Il n'y a qu'à voir le manque de motivation pour les apprentissages, les difficultés de concentration ou de mémorisation…

 

… tout ça n’a jamais été aussi fort qu’aujourd’hui.

 

 

Les pays qui ont embrassé des méthodes d'apprentissage plus adaptées aux besoins des élèves ?

 

Que ça soit la Suède, la Finlande ou encore la Nouvelle-Zélande ?

 

C’est simple…

Ils ont surpassé leurs homologues en termes de résultats scolaires et de satisfaction des élèves.

 

 

Le constat est édifiant:

 

... Une plus grande implication de la part des enfants dans le travail, car ils sont actifs et engagés dans le processus.

 

... Le développement de compétences transversales telles que la pensée critique, la créativité et la résolution de problèmes.

 

... Une baisse du stress chez les enfants, en minimisant la pression et la compétition.

 

... Une plus grande adaptabilité et une plus grande volonté d’apprendre.

 

...Un bien meilleur niveau scolaire en mathématiques et en langues.

 

 

Pourquoi ces résultats ?

Parce qu’ils appliquent des méthodes plus adaptées aux besoins des enfants…

 

… Des méthodes permettant aux enfants de devenir des apprenants actifs, curieux, et résilients.

 

 

Pas étonnant que les écoles dites alternatives n’aient jamais eu autant la cote.

Que bon nombre d’enseignants cherchent à moderniser l’Ecole.

Ou qu’il n’y ait jamais eu autant d’enfants déscolarisés qu’aujourd’hui.

 

 

 

L’enseignement traditionnel a clairement ses limites :

 

… Ses méthodes ont tendance à uniformiser l'apprentissage et ne prennent pas suffisamment en compte les différences individuelles.

Logique que beaucoup d’élèves ne soient pas motivés à apprendre.

Qu’ils soient moins engagés, car le contenu n’est adapté ni à leur intérêt, ni à leur rythme, ni à leur style d’apprentissage.

 

…Et l'accent est souvent mis sur la mémorisation plutôt que sur la compréhension profonde des sujets.

On bachote, mais on ne comprend pas ce qu’on apprend.

Ce qu’on apprend est donc très superficiel, et la capacité des enfants à appliquer leurs connaissances est donc clairement limitée.

 

 

 

On sait donc que l’enseignement classique n’est plus la méthode la plus efficace pour accompagner les enfants à développer les compétences dont ils ont besoin pour leur vie future.

 

 

Pour autant, il ne suffit pas d’utiliser une autre méthode, comme la pédagogie Montessori, pour que tous les problèmes soient réglés.

 

 

Le manque de motivation,

La difficulté à maintenir l’attention de certains enfants,

La mémorisation limitée des informations,

Une curiosité naturelle en berne

 

Tout ça ?

On le retrouve aussi en instruction en famille ou dans les écoles alternatives.

 

 

Il existe des stratégies pour lutter contre ça.

 

Et ces stratégies sont assez communes dans la plupart des pédagogies ouvertes et individualisées.

 

La première, c’est de respecter l’intérêt de l’enfant.

C’est top.

Ça permet que l’enfant soit pleinement motivé par ce qu’il fait.

Engagé dans son action d’apprentissage.

Et ça l’aide à mieux mémoriser.

 

Mais quand l’enfant ne s’intéresse à « rien » ?

Ou qu’il ne veut pas faire de conjugaison…

 

On fait comment ?

 

La plupart du temps, on retombe dans les travers de l’enseignement classique.

On impose.

Par un emploi du temps, un plan de travail, un « contrat ».

 

 

Peu importe la forme que ça prend, c’est toujours la même chose.

 

Ben oui, faut bien s’assurer que l’enfant avance dans tous les domaines.

 

 

Mais la méthode ne vaut pas mieux que les apprentissages dirigés qu’on voit à l’école.

 

C’est pareil.

 

Croire qu’on fait mieux parce qu’on utilise du matériel Montessori ?

C’est faux.

 

Parce que l’apprentissage n’est jamais aussi puissant que lorsqu’il est profondément voulu par l’enfant.

 

Alors certaines approches alternatives peuvent nous donner d’autres stratégies pour résoudre ce problème, et éviter de retomber dans le travail dirigé. 

 

Celle de stimuler et provoquer l’intérêt de l’enfant.

 

Que ça soit par les provocations, dans l’approche Reggio.

Ou les extensions verticales, dans la pédagogie Montessori.

 

Mais là aussi, souvent, ça ne suffit pas pour maintenir l’intérêt de l’enfant sur des matières complexes, suffisamment longtemps pour que l’apprentissage se mette en place.

 

 

 

Aujourd’hui, on le sait:

 

La meilleure façon de faciliter des apprentissages bienveillants et efficaces, au-delà de la méthode employée…

… c’est de stimuler le travail autonome chez l’enfant.

 

 

C’est ce que les pays scandinaves ont compris.

 

C’est ce que nous avons du mal à mettre en place, parce que comme toute habitude à changer, il y a de l’inertie.

 

Un besoin de contrôle.

 

Et des fausses croyances.

 

Notamment que les apprentissages autonomes, c’est laisser l’enfant ne rien faire à part jouer aux jeux vidéos toute la journée.

 

Qu’il n’y a rien à « faire ».

 

Comme si les apprentissages autonomes, c’était la génération spontanée.

 

Bien sûr que non.

 

 

Il y a des outils et des stratégies pour stimuler le travail autonome chez l’enfant.

 

 

Pour…

 

Renforcer la motivation intrinsèque des enfants, ce qui va les inciter à explorer naturellement, non pas parce qu’ils doivent le faire, mais par envie.

(Et c’est bien plus efficace)

 

Booster la curiosité naturelle des enfants, les incitant justement à apprendre ce qu’ils ne connaissent pas.

 

Stimuler la créativité des enfants en encourageant l’exploration personnelle pour les inciter à trouver des solutions innovantes et à exprimer leur individualité.

 

Améliorer leur concentration, tout simplement parce que les apprentissages sont adaptés aux intérêts de l’enfant et qu’il est donc naturellement plus investi dans le processus d'apprentissage.

 

Développer l’auto-discipline, essentielle pour atteindre des objectifs académiques et personnels.

 

Faire grandir leur confiance en soi, parce que les réussites vécues dans ce cadre encouragent les enfants à relever d’autres défis avec assurance.

 

 

Que vous soyez

 

Enseignante à l’école publique, et que vous souhaitiez favoriser la diversité des styles d'apprentissage, permettre aux enfants de suivre leur propre rythme, encourager la créativité…

 

Enseignante en Ecole Montessori, et que vous aimeriez stimuler la curiosité des élèves pour développer leur joie naturelle à travailler et leur autonomie.

 

Parent en instruction en famille, et que vous cherchez à personnaliser à 100% l’environnement d’apprentissage de vos enfants.

 

Parent à la recherche de solutions pour les devoirs, les révisions ou en soutien scolaire, et que vous souhaitiez renforcer la responsabilité, l’autonomie et la motivation de votre enfant.

 

 

 

J’ai créé le programme « Stratégies et Outils pour Stimuler le Travail Autonome chez l’Enfant » afin de vous accompagner sur ce chemin.

 

 

Et au passage, pour vous aider aussi à préparer les enfants à la vie active, qui ne consiste pas à attendre passivement qu’on nous dise quoi faire, mais à prendre des initiatives et à rester flexibles dans un monde en constante évolution.

 

 

Le programme « Stratégies et Outils pour Stimuler le Travail Autonome chez l’Enfant » vous explique :

 

Les trois stratégies pour stimuler le travail autonome chez l’enfant et comment les mettre en place concrètement

 

La méthode pour implémenter l’outil de base qui va captiver l’attention, stimuler la curiosité et plonger l’enfant dans une expérience immersive captivante… le point de départ d’un travail autonome qualitatif.

 

L’outil pour encourager l’exploration personnelle de l’enfant et lui offrir des ressources pour approfondir les connaissances, et des conseils pour créer vous-même vos propres outils.

 

L’expérience qui crée un lien émotionnel fort avec n’importe quel sujet, de façon à continuer de donner envie à l’enfant de poursuivre son étude du sujet, sans devoir le forcer pour cela.

 

 

En plus ?

 

Vous allez retrouver un PDF de 115 pages contenant des ressources capitales pour lancer l’enfant sur le chemin du travail autonome…

Un PDF qui va vous permettre de commencer le plus rapidement possible, et qui va être utile pour implémenter les trois stratégies en même temps… ce qui reste encore plus efficace.

 

 

Cette méthode ?

 

Je conseille personnellement de la mettre en place dès 3 ans.

Des adaptations seront à faire si votre enfant ou vos élèves ne savent pas lire.

Mais le principe reste valable.

Et plus vite on implémente ces stratégies et leurs outils ?

Moins on aura à se préoccuper d’un manque de motivation, de difficulté de concentration ou de mémorisation.

Plus vite les enfants vont être autonomes dans leur travail.

 

Votre enfant ou vos élèves ont 6, 9, 12 ou même 15 ans ?

Et bien ça fonctionnera encore.

Le contenu des outils sera différent, forcément.

Et je vous montre dans le programme comment adapter vos outils à l’âge, au niveau et aux intérêts de votre enfant ou de vos élèves.

 

 

Pour stimuler efficacement le travail autonome chez votre enfant ou vos élèves, retrouvez-moi dès maintenant, juste en dessous: 

 

 

Etape 1: Entrez votre email