

Mettez de la magie, du plaisir et de l'enthousiasme dans les apprentissages grâce à une méthode inspirée du meilleur des pédagogies alternatives !
Quand Montessori rencontre Reggio et Waldorf.
Regardez un enfant en train de jouer.
Qu’observez-vous ?
De la joie.
De l’enthousiasme.
De l’excitation.
Du plaisir.
Tout cela est naturel chez lui.
Pendant qu’il joue et qu’il réalise les grands plans qui le passionnent… il apprend infiniment mieux que durant n’importe quelle leçon.
Aussi bien préparée soit-elle.
Même avec du matériel Montessori.
Est-ce que c’est bizarre ou anormal ?
Non, c’est humain.
Regardez, pour vous maintenant.
Quand vous découvrez quelque chose qui vous passionne.
Qui provoque en vous cette excitation d’enfant, comme le matin de Noël devant le sapin et les cadeaux.
Cette joie enfantine, cette énergie qui vous parcourt le corps.
Qui vous empêche parfois de dormir, parce que vous êtes encore en train de lire un livre sur le sujet, regarder une vidéo sur Youtube ou vous adonner, tout simplement, à votre passion.
Cette énergie joyeuse et très profonde, va faire que vous allez déployer beaucoup d’énergie pour vous plonger dans ce qui vous rend heureux.
Et rapidement, vous allez développer des compétences.
Vous serez même plus compétent que la majorité des gens de votre entourage dans ce qui vous fait vibrer.
Parce que ça vous fait vibrer, justement.
Pas parce que quelqu’un vous a dit que c’était bien que vous vous plongiez dans cette activité.
L’enthousiasme, c’est la clé de toute motivation.
Une motivation suffisamment puissante pour aller au-delà des difficultés, des échecs, des baisses de moral.
Parce que si votre passion, c’est le tricot ou la pâtisserie… vous allez en louper des rangs, avant de produire une jolie écharpe ou de savoir faire un bonnet.
Et vous allez en rater des bavaroises et des entremets, avant de régaler votre famille et vos amis.
Durant cette phase, parfois ingrate de l’apprentissage, si vous ne restez pas connectée à cette joie et cette excitation de l’enfance… vous allez abandonner.
Tout simplement.
Et aucune pression externe ne pourra jamais faire de vous une aussi bonne pâtissière que si c’était votre énergie à vous qui vous portait.
Pour les enfants, c’est exactement la même chose.
C’est même pire.
Parce que nous, nous pouvons nous projeter dans le temps et prendre conscience qu’il y a des bénéfices secondaires parfois, à faire des choses qui ne nous enthousiasment pas spécialement.
Comme faire le ménage, qui peut nous apporter la joie et le bien-être de vivre dans un endroit propre, qui sent bon et qui est rangé.
Comme faire le repassage, qui nous offre du joli linge dans lequel nous allons nous sentir belle.
Ou encore, comme faire à manger le soir, qui va nous permettre de réunir notre famille ou nos amis autour de la table durant un moment de partage.
Nous, nous sommes capables de différer un peu le moment où l’on va recevoir les bénéfices de notre effort.
Pour les enfants, c’est beaucoup plus difficile.
Déjà, parce qu’ils sont dans un instant présent permanent, qui fait qu’ils ont parfois du mal à se projeter dans le temps.
Et puis parce que l’enthousiasme satisfait la zone de la récompense, dans le cerveau, ce qui produit le plaisir, le bonheur, le bien-être.
C’est donc normal qu’un enfant ne fasse « que » ce qu’il aime.
Et qu’il lui soit si difficile de se motiver pour quelque chose qui ne provoque pas de joie chez lui.
Alors, nous avons deux possibilités.
La première : imposer un travail pour valider les apprentissages et assurer les acquis.
Il va alors falloir passer par le système du bâton et de la carotte, cette motivation externe à l’enfant qui le pousse à agir pour obtenir une récompense ou éviter une sanction.
Cette motivation extérieure à lui a ses limites.
Dans le temps. Car les sanctions vont avoir de moins en moins d’effets sur lui.
Dans les résultats. Parce que malgré tout, ça va rester plus fort que lui : il va avoir difficile à se concentrer, à faire ses devoirs, à maintenir son attention, à s’y mettre…
Dans la relation, aussi. Parce qu’irrémédiablement, ça va créer des conflits.
La deuxième possibilité, c’est celle qui va consister à arrêter de lutter contre cette énergie de l’enthousiasme, mais plutôt de jouer avec elle, de s’en servir pour la mettre au service de l’enfant et de ses apprentissages.
… de réfléchir à comment mettre en place une pédagogie de l’enthousiasme, qui utilise l’intérêt et les passions de l’enfant pour amener les apprentissages de façon joyeuse et ludique…
… d’apprendre à provoquer l’enthousiasme de l’enfant quand il semble difficile à émerger, grâce à des pédagogies qui sont faites pour ça, comme les pédagogies Reggio ou Waldorf…
… d’utiliser la pédagogie Montessori pour proposer des activités structurées et organisées en une progression logique, ce qui va développer la confiance en soi des enfants (parce qu’on aura mis en place une méthode pas à pas)…
… de garder à l’esprit qu’apprendre ce n’est pas forcément pénible, ennuyeux ou douloureux, et qu’apprendre dans la joie et le plaisir reste non seulement plus agréable, mais surtout plus efficace… et le meilleur moyen pour que l’enfant n’ait pas de lacunes, qu’il garde sa curiosité naturelle et sa motivation de travailler…
Pour tout ça, j’ai élaboré il y a quelques années une réflexion autour d’un assemblage de matériels qui allait justement permettre à l’enfant d’apprendre dans la joie, et à moi de me détendre au niveau de l’acquisition des compétences.
Il s’agit d’une étagère un peu particulière qu’installe dans ma classe ou chez moi pour mes enfants.
Dans cette étagère, il y a du matériel.
Montessori. Reggio. Waldorf. Et d’autres.
Ce matériel, je le rassemble selon un critère particulier, qui est l’enthousiasme.
Autour de ce critère, je crée des propositions pédagogiques pour susciter l’enthousiasme, le nourrir et aborder tous les apprentissages, sans que l’enfant ne se rende compte qu’il travaille.
Régulièrement, toutes les 3 ou 4 semaines, je change.
C’est un espace vivant, qui parle au cœur de l’enfant et qui le place au centre de ce qu’il apprend.
C’est une approche qui demande l’humilité nécessaire pour se dire que l’enfant est celui qui va me permettre d’apprendre comment l’éduquer et lui amener le matériel nécessaire pour favoriser son apprentissage, sans que l’on ait besoin de recourir à des motivations extérieures à lui.
C’est une réflexion qui m’a personnellement mise beaucoup en joie, et qui a amené beaucoup d’harmonie dans ma relation avec les enfants.
Et qui les a rendu actifs et responsables, parce qu’ils avaient compris que cet espace était pour eux et pas pour leurs apprentissages.
C’est pourquoi j’ai décidé de vous transmettre cette expérience dans la formation : « Pédagogie de l’enthousiasme, et si apprendre restait un plaisir ? ».
Tout au long de l’enseignement, je vous guide pas à pas pour que vous aussi vous puissiez mettre en œuvre cette « deuxième possibilité », plus bienveillante et respectueuse de l’enfant.
Et plus efficace, aussi.
Vous allez y retrouver:
... La technique pour déterminer quel est l'enthousiasme actuel de l'enfant et comment savoir s'il est suffisamment fort pour résister aux difficultés qu'amène un apprentissage, aux échecs et aux erreurs qui vont jalonner le processus.
... La méthode pour provoquer l'enthousiasme des enfants, inspirées des pédagogies Reggio et Waldorf.
... L'outil de la pédagogie Reggio pour mettre des paillettes dans les yeux des enfants et les amener à s'intéresser à ce que vous allez leur proposer.
(Sans devoir recourir à la carotte et au bâton)
... Le rituel de la pédagogie Waldorf pour attirer les enfants comme des mouches vers l'enseignement que vous voulez leur transmettre.
(Et faire en sorte que ça soit eux qui en redemandent)
... La progression inspirée de la pédagogie Montessori pour que vos activités dopent la confiance en soi de l'enfant, qui est absolument nécessaire pour qu'il se lance dans les apprentissages.
... La structure idéale pour une installation qui permet, sans toucher à l'enthousiasme, d'aborder tous les domaines d'apprentissage (aussi bien logique, mathématiques, langage que sciences et même art).
... Des exemples d'installation pour vous inspirer.
... Des conseils pour adapter tout cela à l'âge de vos enfants (adapté de 3 à 12 ans).
Pour réenchanter les apprentissages avec moi, rejoignez la formation et embarquez dans la pédagogie de l’enthousiasme.
Je vous retrouve ici :