Transformez l'expérience d'écriture de votre enfant ou de vos élèves... 

 

... et rendez-la enfin agréable, fluide, efficace.... 

 

... grâce à une méthode amusante, qui change des éternels bacs à manipulation ou des ateliers que les enfants font depuis toujours.

Votre enfant ou votre élève n’aime pas spécialement écrire ?

Son écriture est illisible ?

Il met beaucoup de temps pour écrire trois mots ?

Il est frustré parce qu’il trouve que ça ne va pas assez vite ?

Se fatigue rapidement ?

Se plaint que c’est désagréable, voire que ça fait mal ?

A plutôt du retard dans l’apprentissage de l’écriture ?

Se bloque sur les apprentissages qui nécessitent d’écrire ?

 

Il est frustré et se sent nul, parce qu’il voit bien que les autres y arrivent et pas lui ?

 

C’est malheureusement une situation très fréquente.

 

Et si je dis « malheureusement », c’est parce que c’est pénible pour tout le monde, alors qu’il y a des moyens tellement simples d’éviter tous ces tracas.

 

C’est pénible pour vous, parce que vous n’aimez pas vous prendre la tête avec lui pour des choses aussi futiles.

 

Sérieusement, qui a envie de passer autant de temps, d’énergie et de moments pas hyper sympas pour finir ces satanés travaux ?

 

Qui aime s’inquiéter pour le parcours scolaire d’un enfant qui n’aime pas écrire ?

 

Qui adore enquiquiner un enfant exprès pour le faire bisquer ?

 

Qui est passionné par les conflits ?

 

Franchement ?

 

Personne, nous sommes d’accord.

 

D’autant que, si c’est pénible pour vous, ça l’est pour lui aussi.

 

Parce qu’un enfant qui n’aime pas l’expérience de l’écriture, c’est un enfant qui…

 

… va devoir passer beaucoup de temps à faire quelque chose qu’il n’aime pas.

 

… risque d’être souvent privé des bons moments, parce qu’il devra terminer son travail pendant que les autres jouent.

 

… stresse lors des évaluations, encore plus que les autres.

 

A l’âge adulte, point de répit.

 

Oui, ça continue :

 

On a honte de son écriture.

 

On se trouve handicapé avec un stylo dans les mains.

 

On ne se considère pas créatif et pas doué de ses mains.

 

Et si je disais « malheureusement » plus haut…

 

… Trouver que l’expérience de l’écriture est désagréable voire douloureuse, lente et fatigante…

 

Si l’écriture de l’enfant ressemble à des pattes de mouches…

 

… ce n’est pas une fatalité.

 

Mais le résultat de quelque chose.

 

Pour écrire, il faut compiler un certain nombre de de savoirs et de compétences.

 

Bien sûr, il faut déjà comprendre à quoi ça sert, quel est le sens profond de l’écriture.

 

Sans cela, impossible d’y trouver un intérêt, sans même parler de plaisir.

 

C’est un prérequis absolu, pour que l’enfant ait la motivation nécessaire pour s’engager dans des activités d’écriture.

 

Il va lui falloir également une certaine dose de confiance en soi et de capacité à rester concentré.

 

Et bien évidemment, il faut aussi que l’enfant apprenne à former et lier ses lettres.

 

Mais il n’y a pas que ça.

 

Il y a aussi des compétences physiques à développer.

En l’occurrence 3.

 

 

Trois compétences qui vont permettre à l’enfant de développer une écriture lisible, mais aussi fluide, rapide et agréable.

 

 

Alors, quand un enfant n’aime pas écrire et qu’il a une écriture en pattes de mouche ?

 

Non, il ne sert à rien de lui faire faire encore et toujours plus de lignes.

 

Ça ?

 

C’est le meilleur moyen de le dégoûter.

 

Ce qui marche beaucoup mieux ?

 

C’est de l’aider à développer ces fameuses compétences qui vont améliorer son expérience de l’écriture.

 

Parce qu’il va enfin pouvoir…

 

… tenir son crayon sans cette crispation qui le fatigue et lui fait mal.

 

… écrire plus vite, sans cette frustration d’avoir l’impression que son cerveau va plus vite que sa main.

 

… écrire de manière lisible, sans voir les gens autour de lui froncer les yeux pour le décoder et lui rabâcher qu’il pourrait devenir médecin.

 

Et si on arrive à ce qu’il développe ces compétences de manière ludique, sans qu’il n’ait l’impression d’avoir à travailler encore ?

 

Alors on a gagné le jackpot de l’engagement et de la motivation.

 

 

 

Personnellement, je croyais avoir trouvé la solution « magique » il y a quelques années, lorsque j’ai débuté ma formation Montessori.

 

 

Et puis je me suis rendue compte que certains élèves n’adhéraient pas vraiment aux activités de vie pratique que l’on y trouve.

 

Dans le meilleur des cas, ils manipulaient un peu les plateaux, puis s'en désintéressaient. 

 

Ils n'y touchaient plus.

 

Ou jouaient à la dinette avec les verser. 

 

Comment faire, d'autant qu'ils en avaient encore bien besoin?!?

 

Parce que leur tenue de crayon n'était pas assurée. 

 

Parce que leur main était crispée et raide. 

 

Parce que leurs lignes étaient irrégulières. 

 

Parce que leurs lettres étaient mal formées. 

 

Plus tard, je me suis retrouvée dans une classe élémentaire. 

 

Même constat. 

 

Ecriture pattes de mouche, douleurs lors de l'écriture, écriture lente... 

 

Et hors de question pour eux de revenir à des activités de "petits". 

 

La vie pratique ? 

 

Non merci. 

 

Idem pour les jeux de motricité fine traditionnels. 

 

Il était clair que je devais explorer d'autres méthodes pour les soutenir dans leur parcours. 

 

Mais à l'époque je n'étais pas prête à l'admettre. 

 

Je me refusais de me dire qu'il était important d'enrichir le matériel Montessori...

 

... et que ça, c'était tout pile l'état d'esprit et la philosophie de Maria Montessori. 

 

Quelques temps plus tard, ma fille est née. 

 

Et comme par hasard, elle a détesté le matériel de vie pratique... 

 

... immédiatement. 

 

Elle donnait les pois chiches à manger à ses poupées.

 

Faisait semblant de se maquiller avec l'éponge. 

 

Mettait des petits trésors dans les boîtes. 

 

Et dès que j'essayais de lui proposer de manipuler le plateau "comme je lui avais montré"... 

 

... elle trouvait ça d'un ennui mortel. 

 

Je me suis souvenue des élèves des années précédentes. 

 

C'est là que j'ai VRAIMENT compris. 

 

Que je me suis mise en recherche.

 

A ses trois ans, j'ai ouvert un centre d'apprentissages pour les enfants instruits en famille. 

 

Les trois années de sa maternelle s'y sont déroulés, avant que je ne retrouve le chemin d'une école Montessori. 

 

Ces trois années ont été l'occasion pour moi d'accompagner une vingtaine d'enfants et de leur trouver des solutions adaptées pour travailler leur motricité fine...

 

... avec du matériel Montessori de vie pratique, mais plein d'autres choses aussi. 

 

 

Ces enfants ont commencé à s'engager, à s'amuser tout en renforçant leurs mains, leurs poignets et leurs doigts.

 

Petit à petit, leurs écritures sont devenues plus lisibles, plus rapides, plus confiantes. 

 

Ils rechignaient moins. 

 

Aujourd'hui, je ramène ces expériences dans mon école. 

 

Avec notamment: 

 

Les 5 techniques de la pédagogie Montessori pour stimuler la motricité fine de l'enfant. 

 

Pour deux raisons: 

Si l'enfant adhère au matériel de vie pratique, pour le rendre encore plus efficace et mieux le présenter. 

Si l'enfant n'y adhère pas, pour le faire profiter des bienfaits de cette pédagogie extraordinaire. 

 

Mais aussi:

 

Les alternatives ludiques, du commerce, qui développent la motricité fine. 

J'adore voir les enfants s'éclater en renforçant leur motricité fine... sans s'en rendre compte. 

 

Les activités pratiques et ludiques, qui... 

... renforcent la musculature de la main, 

... développent la souplesse du poignet, 

... améliorent la coordination et la précision des doigts. 

 

L'outil de suivi de la progression de l'enfant.

Pour que je sache où en ils en sont tous et ce que je peux mettre en place concrètement pour chacun d'entre eux, en fonction de leur besoin et de leur difficulté. 

 

Les techniques pour prévenir les douleurs et optimiser le confort d'écriture de l'enfant. 

Avec: 

6 conseils sur le positionnement du corps, de la chaise et de la table. 

2 exercices simples pour détendre les muscles avant et après l'écriture. 

 

Et ce que j'adore, c'est de voir les enfants évoluer. 

 

Parce que c'est amusant, contrairement à écrire et écrire des lignes de lettres ou de mots. 

 

Parce que ça se fait partout, et dans le mouvement, contrairement aux activités traditionnelles de motricité fine. 

 

Parce que, pour les plus grands, ça n'est pas connoté "bébé", comme des transvasements ou des tris. 

 

D'ailleurs, cette "méthode", je lui ai donné un nom un peu plus funky que "ateliers de motricité fine".

 

FINGERGYM

 

Justement pour rendre ses exercices très attirants et excitants. 

 

Pour intriguer les enfants. 

 

Pour les motiver. 

 

Et ça marche. 

 

Il y a des exercices sportifs. 

 

Des jeux. 

 

On peut les adapter pour les moins de 6 ans. 

 

Et ils cartonnent pour les plus de 6 ans. 

 

Ils ne nécessitent quasiment pas de matériel. 

 

Ou des choses très abordables. 

 

 

Tout cette expérience, j'ai décidé de la partager. 

 

C'est ainsi qu'est né FINGER GYM, un programme conçu pour transformer l'expérience d'écriture des enfants, tout en simplifiant la vie des parents et des enseignants.

 

Un programme rapide qui va droit au but. 

 

 

En moins de 2 heures, vous allez découvrir: 

 

 

Module 1 : Les 5 techniques de la pédagogie Montessori pour stimuler la motricité fine de l’enfant 

Que l'enfant aime les activités de vie pratique... ou pas. (vidéo)

 

Module 2 : Les alternatives ludiques 

Mes jeux du commerce préférés pour stimuler la motricité fine sans que l'enfant ne s'en rende compte.
Ces jeux sont adaptés pour des enfants dès 3 ans, et jusqu'à 9 ans. (PDF)

 

Module 3 : Activités pratiques pour renforcer la main, le poignet et les doigts

  • 10 Exercices simples et amusants pour renforcer la musculature de la main (vidéo)
  • 10 Exercices de rotation et d'inclinaison pour développer la souplesse du poignet (vidéo)
  • 10 Activités ciblées pour améliorer la coordination et la précision des doigts nécessaires à l'écriture (vidéo)

 

Module 4 : Évaluation de la progression 

Outil de suivi annuel et d’évaluation (PDF)

 

Module 5 : Prévention des douleurs et optimisation du confort d’écriture

Techniques pour éviter les douleurs associées à l’écriture

  • Posture adéquate : 6 Conseils sur le positionnement du corps, de la chaise et de la table (vidéo)
  • Relâchement musculaire : 2 Exercices simples pour détendre les muscles avant et après l'écriture (vidéo)

 

Remplacez la frustration par le plaisir. 

 

Et la douleur par le confort.

 

Retrouvez-moi dans FINGERGYM dès maintenant: 

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