Il s’ennuie vite et ne tient pas en place ?

Il veut jouer et les devoirs sont des moments pénibles ?

 

Découvrez cette méthode plébiscitée par les pays scandinaves pour déployer le potentiel des enfants !  

Vous êtes peut-être enseignant, éducateur, ou parent, passionné par les pédagogies actives.

 

Mais honnêtement, avez-vous déjà été confronté à l'une de ces situations avec vos enfants ou vos élèves ?

 

 

Le calvaire des devoirs sur feuille :

Ils en ont marre des polycopiés et des devoirs sur feuille.

Travailler est parfois devenu un calvaire.

Ils ne sont pas franchement motivés, ont du mal à se concentrer et perdent vite l’intérêt à ce qu’ils font.

Si en plus vous ne pouvez pas leur faire prendre l'air, c’est encore pire.

 

 

Les apprentissages traditionnels qui tombent à plat :

Les apprentissages traditionnels ne fonctionnent pas ou pas bien.

Ils ne sont pas motivés, ne voient pas trop le sens de tout ça… s’ils le font, c’est pour être tranquille ou vous faire plaisir.

Mais du coup, ils mémorisent mal, se déconcentrent…

 

 

L'agitation et l'énervement qui gangrènent l'apprentissage :

Il est agité, énervé, nerveux… voire agressif.

Et ça joue sur son attitude, ses relations avec les autres…

... mais aussi sur ses apprentissages.

 

L'enfant qui ne tient pas en place :

Il ne tient pas en place, il a besoin de bouger pour mieux apprendre. 

Il pourrait passer ses journées dehors…

... et le travail scolaire n’est pas franchement dans ses intérêts.

 

La recherche perpétuelle du jeu :

Il cherche surtout à jouer, et l’intéresser aux apprentissages est compliqué.

Parfois, il vous semblerait même que faire entrer un éléphant dans une boîte à chaussures serait plus facile. 

 

L'ennui persistant et la fuite des erreurs :

Il s’ennuie vite, fait vite le tour des choses, a du mal à persévérer quant il fait des erreurs ou rapidement n’a plus l’envie d’approfondir les apprentissages… du coup, pas évident d’acquérir vraiment les notions.

 

Le manque d'inspiration :

Vous avez compris que sortir et proposer des activités à l’extérieur n’a que des bénéfices pour l’enfant…

... Y compris pour les apprentissages...

... mais vous n’avez pas beaucoup d’idées sur quoi faire à part des balades ou du landart.

Il adore être dehors, et vous sentez qu’il y a là un gros potentiel pour qu’il apprenne plus facilement, sans avoir l’impression de travailler…

... mais vous ne savez pas comment vous y prendre pour structurer ces apprentissages ou mettre en place un extérieur attractif et efficace pour amener l’enfant au travail.

 

Mais j'habite en ville !

Vous habitez en ville, l’enfant est coupé de la nature la plupart du temps…

... et vous ne savez pas comment adapter ces activités de la pédagogie du dehors dans votre contexte…

Vous pensez même que c’est impossible, et vous ne connaissez pas les astuces pour faire apprendre l’enfant dehors… en ville.

 

 

 

Si l'un de ces points vous évoque un "Oui, c'est exactement ça!", alors vous êtes au bon endroit.

 

 

Parce que oui, il existe une solution.

 

Et non, ce n'est pas de la magie.

 

C'est une approche intelligente, créative et parfaitement adaptée à votre réalité.

 

Parce que, soyons francs, les enfants n'en peuvent plus de rester assis à leur chaise à tous écouter le même cours en même temps. 

 

Ces méthodes font partie du passé. 

 

Ils ont au contraire besoin d'une approche dynamique. 

 

Qui s'adapte à tous les profils d'apprentissage. 

 

Et au besoin de mouvement, qui est normal et naturel, il faut quand même s'en rappeler. 

 

Non, rester assis sur une chaise toute la journée, ce n'est pas une méthode qui est bonne pour les enfants. 

 

L'humain, quel que soit son âge d'ailleurs, n'est pas fait pour ça. 

 

Il n'est pas fait non plus pour rester cloîtré à l'intérieur toute la journée. 

 

Même à l'intérieur d'une classe Montessori. 

 

 

Malheureusement, la société d'aujourd'hui pousse dans l'autre sens. 

 

Dans une direction ANTI-NATURELLE. 

 

Qui a un impact sur le bien-être, mais aussi sur les apprentissages de nos enfants. 

 

Pourtant, c'est pas comme si on ne le savait pas, que les enfants ont besoin de bouger et de sortir.

 

Les chiffres sont clairs: le temps passé à l’extérieur diminue comme peau de chagrin.

 

Soit à cause du rythme de vie, de l’environnement, des événements traumatiques qui ont eu lieu et qui stressent bon nombre de parents et d’enseignants.

 

Soit à cause de cette course à la « stimulation » qui parfois font se transformer les enfants en gros cerveaux sur pattes… mais en cerveaux sursaturés.

 

Le confinement du printemps 2020 n’a pas arrangé les choses, avec beaucoup d’enfants enfermés, face aux écrans, assis durant de longs moments...

 

... Et beaucoup d'enfants qui ont gardé de mauvaises habitudes, avec une consommation d'écran bien supérieure à avant. 

 

 

Les psychologues et chercheurs tirent pourtant la sonnette d’alarme : le niveau de stress des enfants n’a jamais été aussi haut, de même que les prescriptions de Ritalin et d’anti-dépresseurs pour les jeunes.

 

Des chercheurs américains ont même mis en lumière un syndrome méconnu mais pourtant bien réel : le syndrome du manque de nature.

 

Ce syndrome montre clairement un lien entre ce manque et l’hyperactivité des enfants, les retards dans leur développement moteur et social… mais aussi des difficultés de concentration et d’apprentissage.

 

Sortir et bouger, c’est donc absolument indispensable… et c’est une expérience vécue dans les pays scandinaves notamment depuis plusieurs années.

 

Cela a un nom : la pédagogie du dehors.

 

Là bas, il y a des écoles en forêt, et même des crèches en pleine nature.

« Oui, mais moi j’habite en ville, et puis il pleut souvent par chez moi ! »

 

Si vous vivez ou enseignez en zone urbaine ou dans une région où il pleut beaucoup, vous pouvez croire que la pédagogie du dehors n’est pas pour vous.

 

Mais faire l’école « hors les murs » ne veut pas forcément dire aller en pleine nature.

 

La ville regorge de possibilités d’apprentissages et de stimulations passionnantes.

 

Tout ou presque est adaptable, peu importe l’environnement dans lequel vous évoluez !

 

Quant au froid ou à la pluie, ce sont en réalité de formidables opportunités, pas seulement des contraintes.

 

Le froid et la pluie proposent des instants inattendus, amusants et très intéressants pour découvrir les états de la matière, l’adaptation de la faune et de la flore, mais aussi une meilleure conscience de soi et des autres (écouter l’eau tomber peut devenir une vraie méditation !).

 

Et comme disent les québécois : il n’y pas de mauvais temps, il n’y a que de mauvais vêtements !

 

Le problème, c’est quand on ne sait pas comment aménager un coin nature, même en ne partant de rien, ou en pensant que vivre en ville ou la pluie sont des freins qui rendent les sorties difficiles ou impossibles… et bien on continue à rester « confinés ».

 

Dans les classes, à la maison.

Entre quatre murs.

Sauf que les enfants en ont marre !

 

Parce que si les pays scandinaves ou le Canada ont déjà amorcé la transition vers la pédagogie du dehors, c’est qu’il y a des raisons….

 

Déjà, ça stimule les 9 intelligences humaines… contre 2 (max 3) en moyenne pour l’école « traditionnelle ».

 

La plupart des intelligences sont négligées en classe, notamment les intelligences kinesthésique, naturaliste et intrapersonnelle.

 

Or, tous les enfants sont différents…

 

... et les deux intelligences stimulées par l’école classique sont la plupart du temps… celles qui vont demander le plus de temps et d’efforts pour être épanouies.

 

Donc en gros, on les fait apprendre par des canaux immatures…

Pas étonnant qu’ils manquent de motivation, d’envie, de plaisir….

 

La pédagogie du dehors, elle, s’adresse à l’ensemble des intelligences des enfants… apprendre devient donc un plaisir !

En plus, clairement, quand les apprentissages sont abstraits, c’est plus compliqué.

 

Ce n’est pas seulement une question de manipulation sensorielle (même si ça joue ! C’est d’ailleurs pourquoi les pédagogies alternatives appuient autant sur les activités sensorielles).

 

Souvenez-vous de votre expérience en tant qu’enfant, et de cette question qu’on s’est tous posée : à quoi ça va me servir d’apprendre ça ???

 

Quand l’apprentissage est coupé du sens, du concret, de l’urgence… dur dur de se motiver.

 

C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles certains matériels Montessori, par exemple, n’intéressent pas du tout les enfants.

Ça n’a rien à voir avec le matériel… mais avec la façon dont ils sont introduits, amenés… et le lien que l’adulte n’a pas su faire avec… le concret. Donc la vie.

 

 

La pédagogie du dehors permet non seulement de stimuler les sens et de faire vivre aux enfants des expériences sensorielles et motrices importantes pour apprendre plus facilement…

 

... mais surtout de vivre des expériences puissantes qui vont donner du sens aux apprentissages…

 

... et provoquer chez eux cet enthousiasme, cette « urgence » nécessaires pour faire d’eux de vrais moteurs dans leurs apprentissages.

 

 

 

 

Imaginez donc que non seulement l’enfant ait plaisir à apprendre, mais que ce soit lui qui soit demandeur ?

 

 

 

Que vous puissiez utiliser son besoin de bouger, de jouer et d’être dehors pour couvrir quasiment l’ensemble de tous les apprentissages, même scolaires ?

 

Cela risquerait d’apporter quand même pas mal de sérénité.

 

Mais, ce n’est pas en proposant une sortie par mois ou quelques activités pour dire que vous « faites » de la pédagogie du dehors que ça va fonctionner.

 

Ça demande une transition dans son approche pédagogique, pour réellement voir et concevoir l’extérieur comme un facilitateur d’apprentissage.

 

Par contre, si vous voulez vraiment permettre aux enfants de se réapproprier leurs apprentissages sans les forcer, leur proposer des polycopiés ou vous retrouver avec du matériel coûteux qui n’est pas investi… alors la pédagogie du dehors peut réellement vous aider.

 

 

Pour y arriver, vous avez besoin de comprendre et d’appliquer 5 clés : 

 

... La démarche qui va booster l'engagement des enfants parce que vous aurez compris comment maximiser leur adhésion aux activités que vous préparez. 

 

... La technique pour que les enfants soient proactifs, autonomes et moteurs d'apprentissage. 

 

... Les étapes concrètes pour commencer en pédagogie du dehors, même si vous avez un petit espace ou si vous vivez en zone urbaine.

 

... La méthode inspirée des intelligences multiples pour couvrir l’ensemble des apprentissages scolaires avec la pédagogie du dehors. 

 

... La stratégie pour que les apprentissages deviennent fluides et plaisants sans prise de tête, parce que vous aurez appris à stimuler la curiosité des enfants grâce aux meilleures activités des pédagogies alternatives sur le thème de la nature, telles que Montessori, Reggio, et Waldorf. 

 

Pour mettre en place concrètement la pédagogie du dehors, peu importe votre environnement, il y a des étapes à mettre en place:

 

Etape 1

Aménager votre coin nature (dans une cour de récré, un jardin, un balcon…)

 

Etape 2

Commencer par LA bonne activité, celle sans quoi tout le reste ne fonctionne pas. 

 

Etape 3

Sélectionner les activités en fonction des apprentissages que vous voulez provoquer, ou du type d’intelligence des enfants que vous souhaitez stimuler. 

 

Etape 4

Préparer l’enfant à accueillir l’apprentissage, quel qu’il soit, et comment soutenir cet apprentissage avec l’apport de la pédagogie du dehors

 

Etape 5

Utiliser les trésors de la nature à l’intérieur, pour poursuivre l’expérience, ancrer les apprentissages et motiver les enfants à apprendre… sans qu’ils ne s’en rendent compte.

 

 

Vous vous demandez sans doute...

Comment aménager votre coin Nature? 

Quels sont les points indispensables pour stimuler la curiosité des enfants? 

Quelle est cette activité qui introduit toutes les autres? 

Comment sélectionner les activités en fonction de vos objectifs? 

Quelles activités mettre en place? 

Comment préparer concrètement l'enfant à apprendre avec la pédagogie du dehors? 

Quels matériels Montessori, Reggio, Waldorf utiliser et comment le faire pour ancrer les apprentissages? 

 

C'est pour répondre à toutes ces questions que j'ai créer le programme "Apprendre par la Nature". 

 

Depuis 2008, je travaille avec les enfants dans des écoles alternatives.

 

 

J’ai découvert la pédagogie du dehors dans une école incroyable, qui m’a amenée de Montessori à Reggio… et aux principes des « forest school ».

 

De ces expériences, j’ai créé un accompagnement en ligne, accessible à vie aux enseignants et aux parents qui veulent implémenter cette merveilleuse façon d’amener les apprentissages de façon libre, ludique, sereine… et terriblement efficace.

 

Dans ce programme, vous allez retrouver près d'une quarantaine d'activités, à réaliser dehors ou à l'intérieur. 

 

Avec, pour chacune d'entre elles, mes meilleurs conseils, mon expériences et des anecdotes pour vous faire vivre l'expérience. 

 

Il y a également un guide pour commencer. 

 

 

En BONUS? 

En vous inscrivant au programme "Apprendre par la Nature", vous aurez un accès illimité à toutes les mises à jour et aux ressources supplémentaires, y compris les nouveaux modules, les vidéos exclusives et les bonus spéciaux.

Vous pourrez ainsi continuer à enrichir votre pratique au fil du temps.

 

Mise à jour 2022: une vidéo d'1h présentant 29 albums de littérature jeunesse (3-9 ans) sur la flore, mais aussi comment les présenter en lien avec les activités du programme et les utiliser pour préparer une sortie ou revenir sur une expérience. 

 

Mise à jour 2024: Les Aventuriers de la Nature

Découvrez un défi à faire ensemble, avec 52 aventures à vivre tout au long de l'année. 

Chaque semaine, relevez votre défi et apprenez plein de choses ensemble, tout en cultivant votre complicité. 

 

 

 

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